L'Enseignement de Jeshua

8.07.2014

La grotte en or


Ce matin, Jeshua m'a prise par la main et m'a emmenée vers l'entrée d'une habitation. Nous y avons pénétré et avons traversé pièces, couloirs, escaliers pour arriver dans une grotte.
Au premier regard, elle me paraît recouverte d'or car elle étincelle comme si elle était remplie de joyaux. Les parois renvoient une douce lumière dorée.
Je reste à l'entrée, interdite devant cette splendeur. Puis je cherche d'où vient l'éclairage. Point de bougies ni de torches ; point d'ouverture vers l'extérieur. En examinant de plus près, je me rends compte qu'il n'y a pas d'or non plus, ni de joyaux. Rien pour émettre de la lumière... sauf les parois elles-mêmes. La lumière émane de la grotte !
Jeshua me fait asseoir et nous restons un moment silencieux.
Puis il me dit : Cette grotte est à l'intérieur de toi. Elle est éclairée naturellement, par elle-même. Elle n'a pas besoin d'éclairage extérieur. Tu n'as pas besoin d'aller chercher la lumière à l'extérieur. Elle est déjà là, en toi. Et elle l'est à l'intérieur de tous les êtres humains. Seulement elle n'est pas toujours visible. La seule chose à faire est donc de la montrer à l'extérieur afin que tous puissent la voir.
J'ai compris :
Il n'y a rien à chercher à l'extérieur. Notre grotte est déjà éclairée. Tout est déjà à l'intérieur de nous.
Laisser tomber les oripeaux et se montrer tels qu'on est. Dans toute notre lumière.
Merci Jeshua pour cet « éclairage ». Pour cet utile rappel...

Avec Amour, Mayäna


ps : j'ai cherché en vain une photo qui illustre la beauté de la grotte qui m'a été montrée.

8.07.2014

Le banc de pierre

 

Ce matin, 18 juin 2013, Jeshua ma prise par la main et m’a entraînée. Presque immédiatement, il s’est mis à courir en me tirant par la main. J’ai couru aussi et rapidement nous avons comme décollé ; c’est-à-dire que nous courrions à quelques centimètres au-dessus du sol. Surprise, je me suis exclamée en riant : « c’est plus facile comme ça ! »

Et puis nous nous sommes élevés toujours plus haut, nous éloignant de la Terre. Nous étions dans une espèce de brume dense dans laquelle nous ne voyions plus rien.

Jeshua s’est arrêté, au milieu de rien. Il a fait se matérialiser un banc de pierre et m’y a fait asseoir. Je me suis étonnée de voir ce banc apparaître sous mes yeux. Jeshua m’a alors rappelé que la pensée est créatrice. Et que je peux créer ma vie, la vie telle que je la souhaite, par ma pensée. Je peux me créer mon paradis ! Les mots qu’il employait étaient percutants et très clairs. C’était évident. Lorsqu’il a eu terminé, ce fut très bref, il m’a prise par la main et nous nous sommes éloignés. Lorsque je me suis retournée, le banc était en train de disparaître. Je me suis dit qu’il disparaissait en même temps que son existence s’effaçait de nos pensées.

Revenus sur Terre, Jeshua a précisé :

Le chemin de vie est un chemin de création.

Tu peux créer ta vie en décidant exactement ce que tu veux. Et cela se fait.

Tu es la seule à décider. Personne d’autre ne doit le faire à ta place.

Tu crées ton monde. Par la pensée.

Merci Jeshua.

Avec Amour, Mayäna

Jeshua : Absorbe le Prâna, absorbe le Soleil

 

En partage ci-dessous, l'enseignement de Jeshua (ainsi que celui de Tara qui le complète) pour monter en vibration, se renforcer, se transformer.

Si tu es intéressé(e) par la voie du Prâna, voici un site que je viens de découvrir et qui donne beaucoup d'informations sur la nourriture pranique (par la respiration du Prâna), les différentes options, des témoignages, les erreurs à ne pas faire, des conseils, etc.

 

http://www.pranique.com/pranic.html

 

Extrait du message de Jeshua reçu en canalisation le 20 juin 2012 :

 

« ...Tu as acquis une nouvelle sérénité qui te va bien, qui te convient bien. Tu peux l'augmenter encore.

Tu peux l'augmenter encore en faisant tous les matins des respirations, des respirations praniques qui vont te renforcer car le Prana est important. Absorbe le Prana. Il va te renforcer, il va te remplir de tout ce dont tu as besoin. Trouve le moyen de faire ces respirations ; elles vont grandement t'aider. Bien sûr que si tu peux être encore plus au soleil, tu absorberas la force, la nourriture du soleil. Ces nourritures devraient te suffire ; elles devraient combler ton besoin de te remplir car elles contiennent tout ce que tu cherches, tout ce dont tu as besoin. Trouve un maître, trouve quelqu'un pour te guider dans ces respirations. Mais tu peux aussi y arriver seule. Nous sommes avec toi, nous te guidons...

...Si tu fais la respiration pranique, si tu absorbes le soleil chaque jour, alors ton esprit sera encore plus concentré, tu seras plus centrée, tu seras complètement toi-même, complètement dans ton centre. Ta force sera décuplée ; ton pouvoir de guérison, de donner de l'amour, sera décuplé ; ton esprit sera plus aiguisé ; tous tes sens seront plus aiguisés ; ta vision du cœur s'ouvrira ; tes dons seront plus évidents, plus révélés ; ton corps se portera mieux et commencera sa guérison.

Absorbe le prana. Absorbe le soleil. Il est temps maintenant pour toi d'aller dans cette direction. Trouve le moyen... »

 

 

Tara : Apprends à respirer



Extrait du message de Tara (Tara Verte, qui était une de mes guides et qui, maintenant, revient m'aider lorsque j'ai besoin d'Elle. Immédiatement, elle est là, sans même que de le lui demande) reçu en canalisation le 20 juin 2012

 

... « Apprends à respirer. Tu as besoin de cette respiration. C'est elle qui va te développer, qui va développer ton corps, ton esprit et qui va t'apporter tous les éléments dont tu as besoin. Respire ! Respire avec ton ventre, respire avec ton centre et absorbe, absorbe la vie qui est contenue dans l'air. Que crois-tu qu'il y a dans l'air ? Seulement de l'air ? Pour remplir les poumons, pour donner de l'oxygène ? Bien sûr que non ! Il y a toute l'énergie du Cosmos, toute l'énergie du Divin, toute la nourriture pour toutes les créations. C'est là
qu'est la nourriture du Divin, c'est le lait du Divin. C'est avec ce lait qu'il nourrit ses créations, ses enfants : dans l'air. Il faut l'absorber en conscience. Il faut en absorber toutes les substances.

Comment respirer... Respire profondément par ton ventre. Garde le prana à l'intérieur de toi un moment puis rejette l'air vidé de sa substance. Puis absorbe de nouveau une goulée de prana. Garde-le un moment. Mange-le. Fais-en profiter tous tes organes, toutes tes cellules, toutes les particules de ton être, en conscience. Puis rejette l'air vidé de sa substance, puis recommence, profondément.
Pendant ce temps, si tu le peux, absorbe le soleil par ta peau, par tous les pores de ta peau. Absorbe ses particules de Vie, de Force, de toutes les manières que tu peux, de tout ce qui est à ta conscience. Sens que tu l'absorbes, sens qu'il te nourrit, qu'il te renforce. Le soleil est la nourriture de toutes choses. Le soleil est le principe masculin de la nourriture. L'air est le principe féminin. Tu as besoin des deux. Vous avez tous besoin des deux. Tout ce qui vit sur cette terre a besoin des deux. Vous êtes constitués de ces deux principes. Et
même lorsque le soleil est caché, ses particules bienfaisantes parviennent jusqu'à toi. Sache qu'il te nourrit même si tu ne levois pas. Il est là, juste derrière le nuage, juste derrière le rideau de pluie. Il est tout près. Avec sa force il transperce ces obstacles qui ne sont rien pour lui. Il est là. Sa force, sa vibration, son énergie, sont toujours présentes. Même quand il fait nuit, il inonde la Terre, toute la Terre, de sa force. Fais l'expérience de te remplir de sa force et de te remplir de la nourriture de l'air. Et tu verras, tu verras la différence.... »

 

Merci Jeshua, merci Tara

Avec Amour, Mayäna

L'Etoile stérile (vécu en méditation le 8 décembre 2011)



Ce matin, Jeshua m'a emmenée sur une Étoile. Le paysage de terre rouge est très beau mais complètement désertique, sans aucun être vivant : ni végétal, ni animal, ni "humain". Rien d'autre qu'une aridité extrême. Seulement quelques éminences de roches et de terre ; ou de sable ?

 

J'ai bien regardé autour de moi et aussi loin que pouvait porter mon regard. Et je me suis dit qu'il ne manquait qu'un peu d'eau pour transformer ce paysage sévère en un jardin luxuriant.

 

Mais quelle leçon en tirer ?

 

Jeshua m'a ramenée chez moi, et m'a expliqué :

Je n'ai rien vu dans ce paysage stérile parce que j'ai regardé avec mes yeux humains. Si j'avais regardé avec les yeux du Cœur, j'aurais vu un paysage vivant, habité et plein de beauté. Si nous utilisons seulement nos yeux humains, nous ne voyons rien. Avec la vision du cœur, tout nous est dévoilé, tout est visible. La réalité est visible. Car nos yeux humains ne voient que l'illusion.

 

J'ai compris que je dois m'exercer à voir différemment. Fermer les yeux et vibrer à l'intérieur, voir avec le cœur. Comme le faisait No Eyes.

 

Merci Jeshua pour cet enseignement.

Mayäna

Des épées dans la tête  (vécu en méditation le 26 novembre 2011)

 

J'entre dans le jardin du Temple. Il y a là un papillon qui vient se poser sur mon doigt. L’Être de Lumière qui m'accompagne me dit que je devrais être comme ce papillon, comme tous les animaux : être dans le présent. Uniquement vivre le présent, comme eux. Sans me poser de questions. Sans tout faire passer par le mental.
Puis le papillon se pose sur le bout de mon nez, puis sur mon cœur. L’Être me dit : « Tu vois, ne pas regarder plus loin que le bout de ton nez. Être ici et maintenant. Et laisser l'intelligence de la Lumière agir. Rien d'autre. »

J'entre à l'intérieur du Temple. Je m'asseois en tailleur au centre de la coupole de cristal, très haute au-dessus de moi. Je suis une forme toute petite et humble au milieu de cette immensité. Puis d'autres formes viennent me rejoindre, formant des cercles d’Êtres en méditation. L’atmosphère est au recueillement et à l'humilité. Sereine avec peu de lumière. Nous sommes des formes grises un peu floues.

Et puis, tout à coup, je me vois et je me ressens dans l'Ici et Maintenant, dans la lumière blanc-doré, la Lumière divine. Je demande à me dissoudre dedans. Je lâche prise.

Et je ne suis plus. Mon petit moi n'est plus. Et il sort de ma forme toujours assise de grandes flammes, ou des flèches, ou plutôt des épées rouges qui fusent vers le haut avec force. Elles sortent de ma tête, mais pas seulement. Elles sortent de moi, de tout mon corps, par séquences. Par jets.

Lorsque tout se calme je reviens accompagnée de Jeshua, Marie, Marie-Madeleine et Anna. Et je comprends que mon mental a lâché. Enfin !


Comme toujours, j'ai demandé à Jeshua de m'expliquer : Tu as vécu une expérience de purification car ce que tu as pris pour des épées était seulement ce qui gênait ton lâcher prise. Cela a été mis dans la lumière.
Vivre seulement par le cœur sera plus facile pour toi dorénavant. Tu as vécu cette expérience parce que tu le désirais vraiment.
C'est comme ça que ça marche !

 

Merci Jeshua, merci à Vous tous.

Mayäna

Les dernières marches avec Jeshua  - vécu le 23 octobre 2011

  

Ce matin, pendant ma méditation, je me suis réfugiée auprès de Jeshua en lui disant combien depuis quelque temps je suis déstabilisée, désolée, triste, de ne plus parvenir, pendant mes méditations, à élever mon âme, ma vibration, comme je le faisais auparavant.

Il m'a d'abord rappelé que tout est déjà dit, déjà consommé. Et donc que je n'ai pas à me faire de souci, que tout est parfait et que là où j'en suis c'est là où je dois être. Puis il a pris ma main et m'a dit «Viens !» comme il l'a déjà fait si souvent.

Nous nous élançons sur un sentier fait de grandes dalles qui forment un escalier très plat et large. Nous courons en montant. D'abord, c'est très agréable et facile pour moi. Puis les marches se font un peu plus hautes, mais nous courons toujours et notre élan me porte.

Bientôt, les marches sont encore plus hautes et je commence à avoir du mal à suivre. Jeshua, qui me tient toujours la main (il est beaucoup plus grand que moi qui suis une petite fille à ses côtés), m'aide en me tirant, ce qui me fait sauter par-dessus chaque marche. Comme on le fait avec un petit enfant en le soulevant de terre pour gravir un escalier dont les marches sont plus hautes que ses petites jambes.

Je m'aperçois que l'escalier devient de plus en plus abrupt et étroit et qu'il est encore très haut au-dessus de nous. De plus, une brume voile les marches les plus proches et un épais brouillard cache les plus éloignées. Je ne vois pas du tout le haut de l'escalier.

Mais nous continuons à monter. Moi péniblement ; je n'y parviendrais pas sans l'aide de Jeshua. Nous montons lentement marche après marche et il me hisse littéralement en tenant toujours ma main.

Nous sommes complètement dans le brouillard. Je ne vois toujours pas le haut de l'escalier. Maintenant, Jeshua est obligé de se placer sur la marche au-dessus de moi et de me tirer en me soulevant de ses deux bras. Car la marche est presque aussi haute que moi et je n'ai plus la force de l'escalader.

Et d'un coup, le brouillard se déchire et nos voici tout en haut, dans une magnifique lumière blanc-doré. Elle nous entoure, nous absorbe presque. Elle n'éblouit pas ; on peut la regarder, j'allais dire «de face» mais il n'y a pas de face. Elle est là. Partout.

Alors je distingue à mes pieds un monde qui brille doucement dans une légère brume. Jeshua me dit que C'EST le monde, le même que celui d'où je viens mais dans une dimension différente. C'est là que je vivrai dorénavant. C'est le même monde sans être tout-à-fait le même. Pour moi, l'autre, l'ancien, n'existe plus. Je ne peux plus y retourner, même si je le voulais.

D'ailleurs, je me retourne pour la première fois depuis que nous sommes partis, et ne distingue absolument rien dans le brouillard qui masque l'entrée de l'escalier.

 

Je ne me souviens pas si j'ai remercié Jeshua pour ce magnifique voyage. Je ne sais pas comment j'en suis revenue. Je me souviens seulement avoir instantanément compris que Jeshua avait toujours été là avec moi, même dans les premières marches, alors que je pensais les gravir facilement toute seule. Et j'ai compris aussi que plus j'avançais, plus j'avais besoin de lui, et plus il était présent. Et aussi que, maintenant, j'en suis aux dernières marches. Celles cachées dans le brouillard que je ne peux gravir seule et où, sans lui, je serais perdue et désorientée.
Je sais que je suis presque en haut de l'escalier. Et je crois que je serai très très bientôt dans la lumière. La Lumière, Christ, entrera en moi, me baignera et je pourrai, à partir de ce moment-là, percevoir ce monde nouveau qui sera désormais le mien. Un monde où tout sera à la même place mais où, pour moi, tout sera différent.