Enseignements vécus en méditation
LA DOUBLE SPIRALE BLEUE
Vécu en méditation le 28.1.2012
Ce matin, je suis allée sur l'Ile d’Émeraude. Je suis entrée dans le temple et me suis allongée sur la table de cristal. Des Êtres de Lumière sont venus me soigner. J'ai ressenti un grand bien-être dans mon ventre. Ils ont enlevé ma boîte crânienne et m'en ont remis une autre avec des cheveux bruns.
Je me suis levée et j'ai voulu aller jusqu'au centre de la coupole mais je vacillais, comme si mon corps se désintégrait. Les Êtres de Lumière m'ont rattrapée et allongée à nouveau sur la table. Ils ont continué à me soigner. Enfin j'ai été mieux et je me suis assise au centre de la coupole.
Et là, d'énormes cristaux bleus tourbillonnaient au-dessus et autour de moi, dans tous les sens. C'était très beau et en même temps un
peu apeurant, tous ces énormes cristaux qui se croisaient comme des épées. Puis il se sont transformés en spirale ou plutôt en double spirale qui descendait du ciel tel un tunnel jusqu'au sol et
j'étais au centre. Elles tournaient sur elles-mêmes.
Lorsqu'elles se sont arrêtées, je me suis relevée et j'étais vêtue d'une robe blanche lumineuse et d'un manteau bleu et je ressemblais à Jeshua. C'était comme si j'étais lui.
Je suis sortie du temple et rentrée chez moi.
Comme de coutume, je demande à Jeshua ce que j'ai vécu :
« Bonjour ma sœur. Ce que tu as vécu là c'est une démonstration de ce que tu vivras bientôt. Car très bientôt tu vivras ta mort, ta résurrection et ta transformation avec l'entrée du Christ en toi. Comme d'habitude, nous te montrons ce qui vient. Ce que tu vis, c'est le début du processus. Car c'est toujours un processus.
Il y avait des symboles : La boîte crânienne, c'est ton mental qui s'en va. Les cristaux bleus c'est l'énergie divine qui libérait l'espace autour de toi afin que ta nouvelle ADN puisse épouser ton corps. Enfin, tu ressemblais au Christ tel qu'il est communément représenté car il était entré en toi. Il t'habitait. Au début, ton corps est réparé, reconstruit.
C'est véritablement un processus qui a déjà commencé. Mais cela ne se passe pas de façon linéaire. C'est un processus global. Tu le vis en ce moment et chacun le vivra en son temps. »
Merci Jeshua pour ton enseignement.
Mayäna
LA ROBE DE LUMIERE
Vécu en méditation le 11 janvier 2012
Ce matin, je suis allée dans l'Ile d’Émeraude. D'abord je me suis couchée sur la table de cristal et suis restée un bon moment à me soigner. Puis je me suis dirigée au centre de la coupole de cristal.
Là, je me suis mise nue, j'ai laissé tomber ma robe. Je suis restée là, debout. Il fallait que je « me mette à nu », que je me défasse de
tout ce qui m'encombre. De tout l'inutile.
Alors, j'ai vu défiler mes croyances. C'était assez flou mais j'ai vu des statues du genre grec ou romain qui se cassaient. Toutes tombaient en se fracassant. C'était mes idoles, mes croyances, qui
étaient détruites.
Lorsque cela fut terminé, un être de Lumière est venu devant moi et m'a présenté, bien pliée sur ses deux mains, une robe immaculée, d'un blanc très lumineux. J'ai passé la robe qui resplendissait sur moi, puis je me suis élevée jusqu'en haut de la coupole. J'ai fait un arrêt puis ai continué ma route en traversant la coupole, jusque dans les airs. Je ne suis pas redescendue sur l'Ile mais suis rentrée directement chez moi.
Le même soir, je lis une canalisation où il est question d'endosser son corps de lumière. Cette expression conviendrait bien à ce que j'ai vécu le matin. Je pose la question à Jeshua :
« Oui ma sœur, bien sûr, c'est cela. Tu as reçu ton corps de lumière mais tu ne peux encore le conserver en permanence. Cela ne tardera plus maintenant. Tu vas le revêtir de plus en plus souvent. Tu vas continuer à t'alléger, à te mettre à nu. Plus de croyances, plus de doutes, plus de peurs. Rien que la certitude de la Joie. C'est-à-dire la Lumière. Et là, tu revêtiras ta robe de Lumière. »
Merci Jeshua pour ton enseignement.
Mayäna
La Montée de l'escalier fleuri
Vécu en méditation le 7 décembre 2011
Je suis au centre du Temple, sous la haute coupole de cristal. Là, un immense escalier de pierre se manifeste en face de moi. Il est magnifique, d'une largeur d'au moins dix mètres, constitué de vieilles pierres un peu grises et disjointes qui laissent pousser de superbes fleurs dans ses anfractuosités. Les marches ne sont pas hautes et peu profondes. Moins que la taille d'un pied. Mais partout où elles le peuvent, de petites de fleurs roses, bleues, violettes, blanches, s'épanouissent en bouquets. Cet escalier est très très haut et va en rétrécissant. Il est somptueux et attirant.
Je commence à monter. J'ai immédiatement conscience qu'il faut que j'évite les fleurs, que je prenne soin de toute cette beauté, que je la préserve. Cela rend mon ascension délicate car je dois choisir les endroits où je place mes pieds. Éviter les fleurs est ma seule préoccupation. Ne pas les abimer. Je peux progresser à ma guise, donc j'avance lentement. Mais rester sur l'escalier, ne pas perdre l'équilibre est difficile. Après quelques marches, je me retourne et me dis que j'ai compris. J'ai compris que la beauté qui m'entoure pendant mon ascension est primordiale et que je dois être attentive à la respecter, à l'aimer, à la préserver. Et je me dis aussi qu'ayant compris le message, je peux maintenant redescendre.
Mais on ne redescend pas de cet escalier ; il ne «marche» que dans le sens de la montée. Alors, je continue lentement, zigzagant entre les massifs, quelquefois revenant sur mes pas pour emprunter un autre chemin, toujours en équilibre précaire, toujours à la limite de la chute. Plus je monte, plus les fleurs sont nombreuses et ravissantes... et plus mon ascension est délicate. Bientôt, des papillons m'entourent ; ensuite viennent des oiseaux qui volètent et pépient autour de moi. Je parviens enfin au sommet de l'escalier qui s'ouvre sur ce qui ressemble à une serre tropicale emplie de fleurs magnifiques et d'oiseaux colorés. Tout est beauté, chants et parfums délicieux.
Ce que j'ai compris :
L'ascension est un parcours difficile. Toujours rester attentif, vigilant, centré. Ne pas baisser la garde, même entouré de beauté et de lumière, même lorsque le chemin paraît facile, même lorsqu'on semble presque arrivé. Les hésitations sont naturelles, mais ne pas se laisser distraire. Ne pas perdre pied. Garder l'équilibre. Rester agile.
Avec Amour, Mayäna