Jean-Jacques CREVECOEUR, Scientifique, Alchimiste, Homme libre
4.1.2013
Sur son site : www.jean-jacques-crevecoeur.com, sa biographie est ainsi résumée :
« Carl Gustav Jung considérait que les choix de vie que nous faisons trouvent leur origine et leur sens dans la mission que nous sommes censés accomplir sur cette Terre. Autrement dit, plus nous avançons en âge, plus nous comprenons pourquoi nous nous sommes engagés dans telles
études, telles lectures, telles associations, tels engagements, telles relations ou tels voyages. Comme si la cause déterminant nos choix de vie se trouvait dans notre propre futur et qu’avec le
temps, celle-ci se dévoilait de plus en plus, révélant du même coup le sens de notre existence. Dans cette vision audacieuse, Jung n’hésita pas à renverser l’écoulement du temps, plaçant les effets
(nos choix de vie) chronologiquement avant la cause qui les avait créés.
Cette biographie que je vous propose de moi a été rédigée dans cet esprit. Car proche de la cinquantaine, je comprends de mieux en mieux le sens du parcours qui fut le mien depuis ma naissance, le 2
mai 1961 à 12h30, en Belgique. Ce qui m’intéresse de vous partager, à travers cette section, c’est le cheminement qui me permet d’être l’homme que je suis aujourd’hui, afin que vous saisissiez
précisément le lieu d’où je parle, d’où j’agis et d’où j’écris. Car je n’ai aucune prétention d’être objectif dans mes positions : mon engagement est éminemment subjectif et marqué par mes valeurs,
mes convictions et mon éthique. En sachant, en même temps, que je pratique le doute systématique – si cher à Descartes – à propos de tous les sujets que j’aborde professionnellement.
En fonction de l’investissement que vous y mettrez, vous pourrez connaître :
• mon parcours de vie, en général et en résumé
• mes références intellectuelles, c’est-à-dire les grands penseurs qui ont influencé profondément ma conception du monde
• les êtres qui m’ont marqué en tant qu’humain
• les formations que j’ai suivies, tant à l’université qu’en dehors, dans de multiples domaines de savoirs et de pratiques
• les lectures qui ont bouleversé ma vision du Réel
• et aussi, juste pour le plaisir, tous les qualificatifs dont je suis affublé par les autorités et les journalistes des différents pays que j’ai fréquentés !
Après ce cheminement à multiples entrées, vous comprendrez mieux, j’en suis certain, pourquoi je me suis engagé de la sorte au service de l’autonomie et de la souveraineté des
individus. »
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Ce que j'ai perçu de Jean-Jacques Crèvecoeur : esprit structuré, bon équilibre de synthèse et d'analyse, bonne connaissance de ses qualités, atouts et compétences, personnalité directe, franche et enthousiaste.
Ce qui me plaît en lui : l'alliance équilibrée
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de la science et de la spiritualité
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de l'amour de l'Autre et de la lucidité
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du désir de partage et de l'acceptation du libre arbitre
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de l'engagement et du lâcher-prise
L'aspect « business » très développé sur son site ne me gêne pas car il permet aux personnes qui veulent approfondir son enseignement d'y avoir accès. Je trouve ses articles très enrichissants et, comme toujours, je prends et je laisse en utilisant mon libre-arbitre.
Voir aussi son tout nouveau blog : www.creer-une-meilleure-vie.com.
Les articles qui suivent ont particulièrement retenu mon attention et j'ai envie de les partager. Mais les sites mentionnés plus haut en contiennent beaucoup d'autres qui peuvent t'intéresser et t'aider à parfaire ton alchimie personnelle. Bonne lecture !
Mayäna
4.1.2013
TRANSMUTER LA MORT
« Les vrais philosophes s'exercent à mourir, et ils sont, de tous les hommes, ceux qui ont le moins peur de la mort », écrivait Platon. Curieuse idée que celle de s'exercer à mourir. Cela voulait-il dire que ce philosophe grec du cinquième siècle avant notre ère avait des idées suicidaires ? Pas du tout, bien au contraire ! Ce que ce grand penseur voulait dire, c'est que si nous passons notre vie à essayer d'éviter de mourir, nous nous empêchons de vivre pleinement notre vie...
Car la réalité de la mort physique est une des grandes certitudes existentielles dont le caractère inévitable saute aux yeux de tous ! Woody Allen résumait parfaitement cette réalité en rappelant
que « la vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. »
Quoi de plus sombre donc que la mort ? Quoi de plus négatif aux yeux de beaucoup ? Pourtant, une alchimie est possible également dans ce domaine...
Dans ce septième et dernier courriel, j'aimerais vous montrer comment transmuter la mort en une nouvelle vie.
Pour ce faire, je vous invite à vous interroger avec moi sur la nature de la mort, surnommée dans la littérature comme la grande faucheuse... Si nous partons de la symbolique associée à la mort,
on retrouve souvent des faux, des épées, des ciseaux. Tous des instruments faits pour faucher, pour trancher, pour couper. À première vue, il n'y a que du négatif dans ce geste, car il manifeste la
fin de quelque chose.
Lorsque les blés sont fauchés, leur croissance et leur mûrissement sont stoppés net. Lorsque le fil de la vie est coupé, notre vie s'arrête inexorablement, brutalement. Et cette idée nous
effraie.
Pourtant, l'alchimie nous invite à changer notre regard sur cette réalité qu'est la mort. Elle nous invite à comprendre que la mort est absolument nécessaire à la vie. À commencer par ce tout premier geste posé par la sage-femme depuis des millénaires : couper le cordon ombilical ! Si ce cordon n'avait pas été tranché pour nous, nous n'aurions jamais pu entrer dans la vie dans toute sa plénitude. Mais cette arrivée dans le monde nous a tellement traumatisé (voir le troisième conseil relatif aux peurs) que nous sommes terrorisé à l'idée de revivre une nouvelle coupure. Pourtant, n'est-ce pas la coupure qui permet une nouvelle vie ?
Prenons quelques exemples parmi beaucoup d'autres. Pour m'engager en couple vis-à-vis d'une personne, il faut que je renonce à tous les autres possibles... Pour choisir de travailler sur un projet, il faut (temporairement du moins) tuer tous les autres projets... Pour évoluer en tant qu'individu, il faut que je me coupe de ce qui me rattache à mon passé pour pouvoir y être infidèle... Pour mûrir et devenir adulte, il faut que je perde mon innocence d'enfant... Pour créer de la nouveauté, je dois transgresser l'ordre établi, le statu quo...
Or, nous avons tellement peur de rompre, de couper, de trancher, de tuer, de renoncer, de nous limiter que nous restons prisonnier du passé, de l'ancien, de notre culture, de notre famille, de
notre religion. Avec pour résultat que nous ne vivons pas pleinement la vie que nous aurions voulu vivre.
Quand Jésus-Christ enseignait qu'on ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres, c'est bien cela qu'il suggérait. Pour vivre une vie pleine et entière, nous devons nous exercer à mourir à tout
ce qui nous entrave sur notre chemin de vie... Plus nous nous entraînons à mourir au quotidien, plus notre vie devient synonyme de plénitude, et moins nous avons peur de la Grande Mort. Dans la
tradition amérindienne, il est dit qu'au moment de notre mort, nous aurons le privilège de rencontrer le Grand Aigle qui nous soumettra à trois questions fondamentales :
— Qu'as-tu fait de ta Vie ?
— Comment as-tu aimé ?
— À quel œuvre, plus grand que toi, as-tu contribué ?
Lorsque j'ai eu connaissance de ces trois questions, je me suis dit que je ne voulais pas attendre l'heure de ma mort pour commencer à y répondre. Et chaque fois que je dois faire un choix important
pour orienter ma vie, je me projette dans le futur, à la veille de ma mort, et je me pose la question suivante : « Si je prends telle orientation maintenant, serai-je satisfait, le jour de ma mort,
d'avoir pris cette décision ? »
Concrètement
L'exercice que je vous suggère, cette fois, ressemble davantage à une méditation qu'à une réflexion intellectuelle. Je vous invite donc à vous visualiser trois jours après votre mort. Vous
rencontrez le Grand Aigle et vous entendez les trois questions dans le fond de votre cœur :
— Qu'as-tu fait de ta Vie ?
— Comment as-tu aimé ?
— À quel œuvre, plus grand que toi, as-tu contribué ?
Ensuite, après avoir répondu à ces trois questions, passez en revue :
— Tous les possibles auxquels vous n'avez pas pu renoncer
— Toutes les choses qui vous attachent au passé et à la matière dont vous n'avez pas réussi à vous défaire
— Toutes les relations que vous auriez dû couper depuis longtemps
— Toutes les croyances qui ont limité votre déploiement
— Toutes les images de vous que vous avez voulu maintenir à tout prix
— Toutes les infidélités que vous auriez dû vivre pour être fidèle à vous-même
Saisissez une épée (ça peut être Excalibur, l'épée de Justice du Roi Arthur), et avec l'aide de l'ange lumineux de la mort, coupez, tranchez, tuez tout ce qui doit l'être.
Enfin, choisissez de revenir dans l'incarnation, et engagez-vous à accepter de mourir à tout ce qui est nécessaire pour enfin VIVRE...
Ce conseil clôture une série de 7 conseils offerts par Jean-Jacques Crèvecoeur pour « vous aider à devenir les alchimistes de votre propre existence ». Cette série d'articles est inspirée d'une formation en ligne donnée en 2011 (voir le site de l'auteur : www.jean-jacques-crevecoeur.com et son nouveau blog : www.creer-une-meilleure-vie.com)
4.1.2013
DIX CONSEILS POUR VIVRE LA VIE QUE NOUS REVONS DE VIVRE !
Paru le 15 août 2012
Depuis 1989, j'accompagne des hommes et des femmes sur leur chemin, en me mettant le mieux possible au service de leur désir d'une meilleure vie. Qu'il s'agisse de leur santé, de leur vie relationnelle, de la gestion de leurs émotions et de leurs besoins, de leur légende personnelle, c'est toujours la même phrase qui me revient aux oreilles, encore et encore : « Je ne vis pas vraiment la vie que je rêvais de vivre... »
Pourquoi la plupart d'entre nous avons quitté la trajectoire de vie qui nous était destinée ? Et surtout, comment sortir de ces ornières pour avoir des chances d'accomplir à nouveau nos rêves et les aspirations de notre âme ? Ça vous intéresse ? Alors, suivez le guide...
Partons tout d'abord d'une hypothèse que je ne peux vous prouver scientifiquement, mais qui peut faire du sens pour vous comme cela en fait pour moi. Lorsque nous venons sur Terre, à la naissance, nous venons avec des objectifs de vie. Nous avons tiré les enseignements des incarnations précédentes, et nous voulons expérimenter d'autres dimensions pour que notre vie se rapproche davantage de la vie à laquelle aspire notre âme. L'hypnothérapeute Michael Newton témoignait dans son livre « Un autre corps pour mon âme » que la plupart de ses patients décrivaient les mêmes étapes entre la mort de la dernière incarnation et la naissance dans cette vie-ci. Il semble, d'après ses travaux, que la mort physique est le début d'un long processus de récapitulation où l'âme a la possibilité de tirer toute une série d'enseignements à propos de la manière dont l'individu a vécu sa vie. À partir de là, l'âme éprouve le besoin pressant de revenir sur Terre pour corriger les erreurs du passé, mais aussi, pour que son expérience d'incarnation soit la plus complète possible. C'est donc avec des objectifs de vie très précis que nous revenons nous incarner, une nouvelle fois, dans cette merveilleuse école qu'est la planète Terre. Paulo Coelho appellerait cela notre légende personnelle. Pendant des années, j'ai nommé cela notre axe de vie ou notre mission de vie. Peu importe, finalement. L'idée centrale, c'est que nous sommes ici sur Terre pour accomplir quelque chose, pour réaliser quelque chose, et c'est très bien ainsi.
À la fin de notre adolescence, nous avons des aspirations de vie souvent très fortes et très présentes. Nous avons des valeurs pour lesquelles nous sommes prêts à nous engager. Nous voyons des perspectives de vie positives, où nous nous voyons fonder une famille, mettre nos talents au service de nos valeurs, changer le monde pour qu'il soit meilleur ou plus fraternel. Après 18 ans, nous sommes impatients de croquer la vie à pleines dents et de marquer le monde de notre présence et de notre empreinte. Pourtant, au fil des années, la grande majorité d'entre nous est obligée de déchanter. Nous nous sommes mariés trop vite. Nous avons eu des enfants trop vite. Nous avons contracté des dettes beaucoup trop vite, en achetant une maison, une voiture, etc. Et nous voilà avec le sentiment d'être emprisonnés dans ce monde, bien loin des aspirations qui nous avaient poussés à nous incarner. Autour de la crise de la quarantaine, nous faisons un bilan, plus ou moins consciemment. Nous sentons que quelque chose ne tourne plus rond. Alors, nous nous lançons dans une nouvelle relation conjugale, nous refaisons des enfants, nous changeons de métier. Pour constater, quelques années plus tard, que ce sentiment d'emprisonnement est encore présent. Nous ne sommes pas plus heureux. Nous avons l'impression d'être passés à côté de notre vie. Alors que nous rêvions d'être des individus libres et conscients, nous nous sentons esclaves d'un patron, d'un banquier, d'une famille, d'un système économique basé sur le consumérisme. Et nous ne savons plus très bien comment faire pour en sortir...
Si vous vous reconnaissez dans ce portrait, lisez ce qui suit. Ça pourrait vous aider et vous éclairer. Car ce que je veux vous présenter, à présent, c'est une vision originale et novatrice conçue par un physicien quantique russe, Vadim Zeland. Cet homme pourtant peu médiatisé a changé la vie de millions de personnes à travers le monde en créant et en transmettant le modèle de Transurfing. Transurfing, c'est une approche qui, non seulement nous offre une compréhension des lois de l'Univers qui influencent notre vie quotidienne, mais surtout nous donne des clés concrètes pour surfer à travers la réalité de telle sorte que notre trajectoire de vie se rapproche le plus possible des aspirations de notre âme. Je ne dispose pas de toute la place nécessaire pour vous résumer l'entièreté de la démarche Transurfing que j'ai introduite au Québec il y a plus d'un an maintenant. Si le sujet vous intéresse, vous pourrez commander, via mon site Internet, les trois tomes du livre Transurfing écrit par Vadim Zeland. Par contre, si vous n'avez pas le temps de lire ses livres, si vous n'avez pas le budget pour suivre les séminaires de formation pratique, je tenais quand même à vous présenter un point central de la vision de Vadim Zeland. Ce point concerne la notion de balancier.
Qu'est-ce qu'un balancier, selon la démarche Transurfing ? En fait, il s'agit d'une structure énergétique d'informations créée à l'origine par plusieurs personnes qui pensaient dans la même direction, qui étaient sur la même longueur d'onde, sur la même fréquence de pensée. Notre monde est rempli de balanciers de toutes sortes. Toute entreprise est un balancier. Toute église est un balancier. Tout organisme social, culturel, sportif est un balancier. Tout organe d'information est un balancier.
Pour qu'un balancier dure dans le temps, il a besoin de recruter des adhérents. Ces adhérents, pour une entreprise, sont, non seulement les employés et les collaborateurs, mais aussi tous les clients qui vont consommer les biens et les services offerts par cette entreprise. D'un point de vue énergétique, la seule chose qui intéresse les balanciers, c'est qu'on leur donne notre énergie à travers notre travail, à travers notre attention, à travers notre temps, à travers notre argent. Le même raisonnement peut être fait (et vous le ferez aisément) avec les églises, les religions, les clubs sportifs, les associations culturelles, les clubs de fans, mais aussi avec les journaux, les magazines, les sites Web, les stations de radio ou de télévision. Toutes ces entités nous offrent des biens ou des services, certes. Si nous travaillons pour elles, elles nous offrent un salaire, c'est évident. Mais la grande question, c'est : « Les balanciers nous laissent-ils vraiment le choix de vivre la vie que nous voulons vraiment vivre ? »
Sincèrement, posez-vous la question. Lorsque je travaille pour une entreprise, suis-je vraiment maître de ma destinée ? Suis-je libre de diriger ma vie dans la direction que mon âme avait choisie ? Ou bien ma trajectoire de vie est-elle décidée par une entité qui ne s'intéresse, finalement, qu'à une chose : pomper mon énergie pour pouvoir se maintenir en vie... Lorsque je me passionne pour le parcours de mon club de football favori, à quoi est-ce que je consacre mon temps, mon attention, mon énergie ? Est-ce pour cela que mon âme a désiré se réincarner sur cette Terre cette fois-ci ? Lorsque j'adhère à une religion, qu'elle soit traditionnelle, orientale, nouvelle, qui décide des croyances qui orienteront ma vie ? Le prêtre, le gourou, l'imam ou bien mon âme ? Lorsque j'écoute toutes ces nouvelles alarmantes, déprimantes, négatives diffusées par les mass-medias, lorsque j'amplifie émotionnellement l'impact de toutes ces informations en y mettant ma colère, mon indignation, mon découragement, que me reste-t-il comme énergie pour vivre la vie que je veux vraiment vivre ?
Pour Vadim Zeland, si nous ne vivons pas la vie que nous voulons, c'est parce que nous nous laissons happer par une multitude de balanciers qui nous transforment, avec notre complicité, en pantins et en esclaves. Car lorsque nous voulons adhérer à un balancier, nous devons respecter les règles et les valeurs édictées par lui. C'est le balancier qui statue ce qui est admissible et ce qui ne l'est pas, ce qui juste ou pas, ce qui est vrai ou faux. Comme nous voyons de nombreux avantages à adhérer aux balanciers, nous oublions de regarder ce que nous perdons au passage dans cet échange non équitable...
Car les avantages à adhérer aux balanciers sont nombreux : nous sommes dispensés de penser par nous-mêmes ;nous recevons une sécurité matérielle, émotionnelle, intellectuelle, spirituelle en échange de notre adhésion ; nous sommes pris en charge et nous sommes déresponsabilisés de la conduite de notre destinée.
Par contre, ce que nous perdons, c'est notre liberté fondamentale de choisir, de définir nos propres règles de vie, nos propres valeurs. Et par conséquent, notre droit à vivre pleinement la vie que nous avions choisie initialement, celle qui donne du sens à notre existence ici sur Terre, celle que notre âme avait souhaité manifester au moment de choisir de revenir dans un corps de chair.
Alors, direz-vous, au lieu d'être victimes des balanciers, nous pourrions lutter contre eux ! Mais ce n'est pas si simple que cela, nous rappelle Vadim Zeland dans le premier tome de Transurfing. Car lorsque nous luttons contre un balancier, lorsque nous lui faisons la guerre, pour nous battre avec lui, nous sommes obligés de dépenser de l'énergie. Énergie physique, mais aussi énergie émotionnelle, énergie mentale, énergie spirituelle. Et le pire, c'est que, sans le savoir, nous vibrons à la même fréquence que celle du balancier que nous combattons. Et en voulant l'arrêter, nous le nourrissons de notre énergie, là encore.
Personnellement, en automne 2009, lorsque je me suis battu corps et âme contre le projet du gouvernement d'imposer une vaccination obligatoire contre la grippe H1N1, sans le savoir et sans le vouloir, j'ai nourri puissamment l'énergie du balancier pharmaceutique et gouvernemental. Toutes mes énergies, toutes mes pensées étaient focalisées sur un seul but : arrêter ce projet liberticide et dangereux pour la santé des individus. Les moyens et les méthodes que j'employais ressemblaient de plus en plus aux moyens et aux méthodes utilisées par mes adversaires : moi aussi, j'utilisais la peur. Moi aussi, j'utilisais la colère. Moi aussi, j'utilisais un ton autoritaire vis-à-vis de ceux à qui je m'adressais. Le gouvernement disait : faites-vous vacciner. Moi je disais : ne vous faites pas vacciner ! Sans le savoir, je vibrais à la même fréquence que le balancier que je combattais !
Alors, me direz-vous, comment faire pour échapper à l'emprise des balanciers ? C'est là que je trouve, personnellement, l'approche de Transurfing pertinente et puissante. C'est en lisant les livres que j'ai compris à quel point j'avais donné à ma vie une orientation qui n'avait plus grand chose à voir avec ma légende personnelle. Ce que j'ai retenu de mes lectures, mais aussi de ma participation aux séminaires Transurfing peut se résumer en dix conseils pratiques :
Conseil #1 : devenez observateur des scénarios auxquels vous participez
Conseil #2 : sortez de la routine et des automatismes de votre vie quotidienne
Conseil #3 : sortez de la peur et des préoccupations
Conseil #4 : ne vous laissez plus culpabiliser
Conseil #5 : libérez-vous des croyances qui ne vous appartiennent pas
Conseil #6 : cessez de lutter contre les balanciers
Conseil #7 : sortez du sentiment de victime et d'impuissance
Conseil #8 : diminuez l'importance que vous vous accordez
Conseil #9 : diminuez l'importance que vous accordez aux choses extérieures
Conseil #10 : écoutez la voix de votre âme
Vus comme cela, ces conseils semblent ordinaires. Pourtant, quand on sait tout ce qui se cache derrière chacun de ces conseils, ça change une vie. Ça a changé ma vie. Et ça pourrait changer la vôtre également ! Bientôt, je vous donnerai la possibilité de suivre une formation en ligne, intitulée « La Vague de Vie Quantique », dans laquelle je vous accompagnerai, pas à pas, pour des retrouvailles avec votre propre ligne de vie !
Jean-Jacques Crèvecœur
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Malheureusement il y a eu discorde sur le plan de l'éthique entre JJ Crèvecoeur et le traducteur de Vadim Z eland qui détient certains droits sur le transurfing. JJ. Crèvecoeur a donc mis fin à leur collaboration depuis fin 2012 (voir son explication sur son blog). La formation évoquée plus haut n'est donc pas disponible.
Mais il dit dans une récente communication "...je retrouve ma liberté pour transmettre la quintessence de ce modèle (www.vague-de-vie-quantique.com) en respectant davantage ce que Vadim Zeland, son créateur, nous a transmis à travers ses livres..."
Quoiqu'il en soit, le phénomène des balanciers existe bien et tout l'article ci-dessus reste valable. Les 10 conseils en fin d'article me paraissent élevants au plus haut point. Raisons pour lesquelles je le partage aujourd'hui avec toi.
Mayäna